À trois jours de pistes de Nairobi, nous savions qu’il existait un autre Kenya méconnu, bien loin des itinéraires touristiques, une terre de déserts et de laves, où l’air était brûlant et les vents incessants, un Kenya où l’eau manquait et le bétail faisait l’objet de raids permanents, un pays tribal où la température torride et l’absence d’eau échauffait les esprits… Pourtant, ce paysage hostile renfermait un joyau : le plus grand lac de désert au monde, une immense étendue d’eau de 250 km de long, à la frontière de l’Ethiopie, que l’on surnommait le lac de jade. Ce lac, aux humeurs imprévisibles, plus connu sous le nom de Lac Turkana, avait accueilli il y a bien longtemps, notre humanité naissante, mais aujourd’hui, sa présence dans cet univers désolé, semblait tenir du miracle et sa surface ne cessait de diminuer au fil des années. De nombreux témoignages devaient nous permettre de mieux comprendre les difficultés de vie rencontrées par les populations du nord et nous éclairer sur les responsabilités mêlées de l’homme et du climat, devant la tragédie écologique qui s’annonçait.
Au nord du Kenya, Kalatcha ressemble à une récompense inespérée, après plusieurs heures de pistes dans le désert. Une exubérance de verdure et de palmes qui se devine au loin, dans des soulèvements de sable. Ici, les femmes ne sont pareilles à aucune autre, fines et racées, richement vêtues d’éclatants voilages multicolores qui flottent au vent du désert. Leur habit bordé de galons tranche singulièrement avec l’ocre qui unit chaque élément d’un paysage sans vie. Leur beauté jaillit violemment de la grisaille comme l’éclat de pépite dans le sable d’un orpailleur. La première fois que nous avions entendu parler d’un village de femmes, la curiosité y avait guidé nos pas, sans imaginer que nous allions revenir plusieurs années de suite dans ce village de femmes gabbras, enjouées et énergiques, qui avaient décidé de prendre leur destin en main et de commencer, à l’âge adulte, bien des apprentissages…
C’est parti pour une randonnée africaine au Swaziland, un tout petit pays coincé entre l’Afrique du Sud et le Mozambique. Sur son chemin, Séverine rencontre des artisans inspirés des professeurs d’école bénévoles, des médecins traditionnels et même une vraie princesse ! Car le Swaziland est l’un des rares pays africains à être dirigé par un Roi.
Au sud de la Sicile se trouve la petite ville de Noto, près de Syracuse et Avola (pour les gourmands, les délicieuses amandes d’Avola sont utilisées pour la fabrication des dragées). Sous les balcons, les Roméo ; au dessus, les jolies filles à marier. Nous assistons à ce que l’on pourrait appeler un fait divers dans un décor complètement baroque.
Reportage sur la région du Mandé et sur le deuxième Festival des chasseurs, organisé par la commune de Mandé, en partenariat avec la communauté de communes de Sainte Maure de Touraine, dans le cadre de la coopération décentralisée.
À Pushkar au Rajasthan, tous les ans au mois de novembre, les hindous fêtent la légende selon laquelle Brahma, le dieu créateur, se serait baigné dans le lac de la ville. À cette occasion, les habitants de la région viennent se purifier et en profitent pour acheter et vendre des milliers de dromadaires. Délirante kermesse où le sacré se mêle au profane.
Les forêts de la pluie australiennes sont considérées comme les reliques de l’époque où l’Australie, Madagascar, l’Amérique du Sud et l’Antarctique n’étaient qu’un même continent. Beaucoup ont été détruites par les colons : en 250 ans, 80% ont été supprimées. Pourtant elles constituent encore de véritables réservoirs où se retrouvent les innombrables expressions de la vie. Pour combien de temps encore ?
Vous plongez dans un formidable canyon aux roches rouges qui suivent les méandres de l’Oak Creek. Sedona est un peu empreinte de new age, mais c’est un lieu de randonnées et d’escalades. Les galeries d’art sont une vraie merveille. À Sedona, l’histoire des Amérindiens nous saute au visage et vient toucher nos coeurs.
Au Népal, tout peut arriver à dos d’hommes. Loin de disparaître, la tradition ancestrale du portage se perpétue. Même en ville, où le réseau routier se développe, hommes, femmes et enfants continuent à porter, inlassablement.
Le chemin de fer transsibérien enflamme l’imagination, façon voyage au long cours. Le parcours franchit huit fuseaux horaires et relie Moscou-la-Russe à Vladivostock-l’Orientale. C’est la plus longue ligne de chemin de fer au monde, 9 300 km. En chemin, elle rencontre le lac Baïkal.
Philippe Huet est un ami écrivain-journaliste, rapporteur de voyage pour différentes revues, comme Terre sauvage par exemple. Je l’ai suivi au cours d’un séjour dans le nord du Bénin pour rapporter bénévolement une documentation filmée aux adhérents de l’association « Koutammarikou », qu’il a créée en 2007 et préside actuellement.
Dans les montagnes du centre du Chili, il est un point de vue sur les volcans, l’Enladrillado, dont la rumeur dit qu’il est fréquenté par des êtres étranges. Nous avons voulu vérifier cette rumeur...
Six mois d’escapade sauvage, c’est le plus fabuleux périple pédestre de plus de 4 500 km que nous avons effectué depuis le Canada jusqu’au Mexique. Six mois, en immersion totale dans cette fameuse « wildernem » américaine, mixant avec bonheur et quelquefois brutalité, paysages grandioses, vie animale et épisodes climatiques. Six mois d’isolement, émaillés de rencontres chaleureuses et intenses, comme dans le Colorado et le Nouveau-Mexique, les deux états où nous vous proposons de nous suivre au cours de la deuxième partie de notre aventure.
Les Hindous croient en la réincarnation. Au temple de Pashupatinath, les familles aident les défunts à traverser le fleuve de la mort. Sur l’autre rive, ils commencent une nouvelle vie.
Pour aller en Espagne, il y a un itinéraire qui franchit les Pyrénées. En passant par le col du Somport, il traverse le village de Sarrance. Il suffit de s’arrêter sur la place du village, pousser la porte de l’église pour assister au miracle.
Au fil des saisons et de nos errances, nous allons sillonné cette région en abordant son histoire, en nous plongeant dans ses traditions, en écoutant les gens qui la font vivre. De grottes en châteaux, de sites exceptionnels en simples gariottes, de mets réputés en grands vins, nous vous emmenons, de manière très personnelle, au cœur d’un pays authentique et riche en couleurs qui nous a conquis...
Cette réalisation a été créée à partir de photos des pandas du zoo de Chengdu (Chine), de la région et ses environs, où vivent 1600 grands pandas. Elle montre les caractéristiques de cette région d’obédience tibétaine, fermée aux étrangers jusqu’aux années 1990. Elle suggère que, si le panda a survécu, c’est parce qu’il vivait dans une région isolée et que les habitants pratiquaient le Bouddhisme.
Uyanga est une jeune étudiante à Oulan Bator et elle nous emmène dans la province de l’Arkhangai où elle nous fait découvrir la vie des nomades dans les steppes de Mongolie.
Longtemps fermé aux étrangers, le Meghalaya dans le nord-est de l’Inde n’est que diversité ; la variété de sa flore et de sa faune sauvage y est aussi importante que celle des langues et des religions. Entrer dans cet état au relief accidenté, c’est mettre les pieds dans un univers féminin. Il n’est pas rare de trouver des femmes vendant des cigarettes, de la viande ou des légumes frais sur des étals improvisés. Même à Shillong, la capitale dont la population est composée à 70% de khasis, les femmes sont partout. Et pour qui a déjà voyagé dans le sous-continent indien, le contraste avec le reste du pays n’en est que plus frappant. Ici, pas de mariages arrangés avec une dot à la clef, rendant donc inutiles les avortements sélectifs et l’infanticide féminin. Le Meghalaya est l’état indien ou l’équilibre entre les sexes est le plus préservé. Cette province est ainsi, à proprement parler un monde de femmes. En effet, installées un peu partout dans l’Etat, les sociétés khasis, garos et jaintias sont régies par une tradition matrilinéaire. Dans ce système, ce sont uniquement les femmes qui possèdent la terre et leur héritage revient aux filles et non aux fils. Chez les Khasis plus particulièrement, c’est à la khaddu, la fille la plus jeune de la famille, que revient le patrimoine familial. C’est par l’évocation de la vie de trois de ces khaddu, une jeune femme étudiante d’une vingtaine d’année, Bashisha, une femme plus mûre, la quarantaine, Koïna et Helinda, la soixantaine, que nous découvrirons une société à part dans une Inde dominée par les hommes…
Dans des conditions climatiques particulièrement difficiles, les indiens du bout du monde se partageaient les immensités inhospitalières de la Patagonie et de la Terre de feu. Mais l’arrivée des colons blancs dans cette partie du monde attira bien des convoitises. Alors, les indiens devinrent vite indésirables. En cinquante ans, l’extermination des indiens de Patagonie fut totale.
« Dégradés d’ocres et variations de vert de gris, contraste de la neige et des écoulements d’eaux chaudes colorées d’algues, râles étouffés d’une poche de boue souterraine animée de secrètes pulsions, bruissements des ruisseaux glacés que recouvre le souffle brûlant des fumerolles, tout en ce lieu est captivant... »
Découvrez le système scolaire népalais ! Privées ou publiques, en ville ou en montagne, les écoles révèlent les différents modes de vie des enfants du pays.
À l’occasion d’une expédition au Groenland, voici une réalisation qui met en lumière le pourquoi et le comment des différents paysages glaciaires (calotte, fjords, langues glaciaires et icebergs) et les enjeux climatiques régionaux liés à la fonte, chaque année plus importante, de la banquise.
Il y a une certaine similitude entre la vie des Japonais et celle des autres pays modernes, mais il existe des différences notables qui étonnent les voyageurs. Le port du kimono à la moindre occasion, les geishas encore présentes, les religions non contradictoires : shintoïsme et bouddhisme, le Hanami : fête des cerisiers en fleurs, un moment fort de la vie des Japonais.
Cette région splendide de l’Argentine, encore peu fréquentée des touristes, s’étend entre les altitudes de 1500 mètres et de plus de 6 000 mètres : les paysages changent... et la faune également.
Carine et Showkat ont parcouru à pied le Ladakh, qui veut dire pays des cols, est niché au creux des sommets himalayens.Trente jours de marche intensive pour franchir les cols de plus de 5000 mètres d’altitude, traverser les villages à flanc de montagne, atteindre les hauts plateaux où vivent les nomades et rencontrer ces gens qui ont le sourire du cœur. Une découverte au rythme de leurs souffles et de leurs pas, d’un pays du bout du monde accroché au toit du monde.
LES AUTEURS : Showkat est ladakhi et Carine est française. Ils se sont rencontrés en 2007 durant un trek au Ladakh, l’amitié est née immédiatement malgré la différence de culture et la barrière de la langue.Ils ont en commun un amour inconditionnel de la montagne et une ouverture de cœur et d’esprit. Ils ont eu envie de repartir, mais seulement tous les deux, sur un parcours intense qui les amèneraient à traverser le Ladakh en 30 jours. Un parcours est tracé sur le papier, une première partie qui passe par les villages et les monastères et une deuxième partie, moins connue, plus sauvage, qui passe par les hauts plateaux du Rupshu et les camps nomades. « La grande traversée du Ladakh », c’est le récit en images de cette aventure humaine, de cette amitié sans frontière et de cette marche inédite. Ils se filment tour à tour et la caméra devient le troisième marcheur. Chacun, avec sa sensibilité, nous dévoile ses émotions et nous fait découvrir les moments forts de leur quête.
![]() © Carine NONNENMACHER | ![]() © Carine NONNENMACHER |
Un film en forme de « road walking », au cours duquel nous pourrons à la fois vivre aux côtés des marcheurs cette étonnante aventure, parcourir ces cols, contempler des paysages à couper le souffle, rencontrer des populations dont on ignore tout ou presque, et comprendre une manière de vivre, décryptée par Showkat qui se fait le porte-parole de son peuple...
Un vieux monsieur et son jeune assistant sont à Rome pour une vente aux enchères de photographies anciennes. A travers leurs pérégrinations dans la ville à la recherche des sites choisis par les photographes des années 1850-1860, c’est la confrontation du présent et du passé, l’impatience de la jeunesse et l’amertume de la vieillesse.
Carte postale de Mandu, petit village du Madhya Pradesh au centre de l’Inde, où vécurent les « Roméo et Juliette » indiens.
Van Gogh arrive à Auvers-sur-Oise le 20 mai 1890. 70 jours plus tard, il meurt des suites d’une balle dans le corps. Durant cette période, Van Gogh est réputé avoir peint quelques 70 tableaux, dont le portrait du Docteur Gachet, 32 dessins et une eau forte. Cela alimente une polémique concernant l’authenticité de ses oeuvres : sont-elles toutes de lui ?
Le testament des glaces est un livre qui aborde la question du dérèglement climatique sous un angle inédit. Au delà de la remise en cause de notre mode de vie, une réflexion documentée et poétique sur le lien à la nature, au sacré, au risque. Le texte du dernier chapitre, dans lequel la glace s’exprime à la première personne, a été repris dans la réalisation.
Qui n’a pas rêvé un jour des neiges éternelles du Kilimanjaro ? « Un jour on ira ». Voilà le langage que je tenais, il y a bien longtemps, à mon garçon encore enfant. Le temps a passé, semant le doute de mes propres capacités et faisant oublier. Un jour, l’adolescent devenu adulte, provoque son père. « J’ai réservé une ascension du Kili, tu te souviens ? » Dès lors, le rêve enfoui se réveille, le coeur palpite, la tension monte. Mais saura-t-on relever le défi ?
Un vénérable tadjick guide un voyageur dans une visite historique et géographique de son pays, la Sogdiane, disparue il y a mille ans, mais qui ressurgit en 1929. Il lui montre que peu de choses ont changé en mille ans !
Après les pluies de mousson, les plaines du Arnhem sont inondées. Puis, lentement, les rivières retournent à leur ancien lit, laissant derrière elles des marais, des trous d’eau. Ce sont les billabongs, mot aborigène, signifiant « rivières mortes ». Au printemps, toute la vie s’y rencontre...
Muleha, un jeune wayana, vit sur les rives du fleuve Maroni à Antecuma-Pata, un des villages les plus isolés de la Guyane française. Kuliyaman, son grand-père maternel, était le dernier chaman eulémi, celui qui soigne par la parole. Personne n’a hérité de son immense savoir, et pourtant, Muleha aime tant les histoires et les légendes laissées par son grand-père, qu’il les dessine... A la rentrée des classes, Muleha va quitter son village pour entrer au collège de Maripasoula, à plusieurs heures de pirogue en aval du fleuve. Un autre monde l’attend... Avant cette séparation avec ses parents, ses deux petites soeurs et ses grands-parents paternels, il part en « pèlerinage » à travers la forêt vierge vers les Tumuc-Humac, à Mamilipan, l’une des montagnes mythiques de la tradition wayana.
Aller en Islande est relativement simple, à condition d’avoir fait quelques économies. Pour ma part, la difficulté a été d’en revenir. J’ai découvert une nature sauvage, dépaysante, un ailleurs qui s’offre dans toute la splendeur de son étendue que l’oeil a l’impression de pouvoir cerner. J’ai pensé à un très grand jardin dans une autre planète, un jardin agrémenté de vallées, de rivières, de collines, de cascades, de rochers, de lave, et puis de lacs et de glaciers. Le tout disposé d’une façon que je ne connaissais pas. Les habitants, j’ai l’impression qu’ils se sont tous rassemblés à Reykjavik ; les autres sont dispersés dans les vallées. Pour meubler leur solitude, ils ont su créer un monde d’esprits, de héros, de monstres, de trolls et d’elfes qui sont invisibles mais bien présents. Et puis, ils ont des noms de ville impossibles à prononcer.
Évocation sur les temples d’Angkor au Cambodge, à travers la narration d’un personnage qui pénètre et découvre cette forêt de pierres.
La musique, le chant, la poésie ne sont pas décoratifs mais créatifs. Ils participent au grand souffle qui soulèvent tristesse, émotion et joie ; Kashi la resplendissante, que l’on trouve dans les textes sacrés, les védas, fut le nom d’un royaume prospère, antique et puissant. La ville a perdu de sa magnificence, mais de tous les tirtha ou lieux sacrés de l’Inde Kashi, Bénarès est la plus vénérée. Kashi symbolise la lumière et la réalisation spirituelle.
Quand la sècheresse commence à menacer la survie de son peuple, le chaman Zahori part à la recherche des esprits du désert. alors qu’il ne lui reste plus d’espoir, un esprit lui apparaît et lui accorde le don de deviner la présence de l’eau sous le sable.
Chez « les derniers rois de Thulé », en traîneau à chiens sur les traces de Jean Malaunie. Plusieurs fois, mon chasseur - Peter Peary, un des nombreux petits fils de Robert Peary, le découvreur du Pôle Nord - ou d’autres inuits m’ont demandé pourquoi j’étais là. Une seule réponse évidente : « Regarde ! » Tout est tellement vaste, lumineux, beau, simple. Un changement total de repères, une approche respectueuse de la nature, de la vie dans ce qu’elle a de vrai, en accord avec les éléments, avec le temps (time and weather).Un voyage hors du temps, avant que les inuits n’aient définitivement sombré, disparu : interdits des fondamentaux de leur culture, bousculés par les brise-glace ouvrant le passage du nord-ouest, cernés sur ce qui lui reste de banquise ...
Partir d’une fiction extra-terrestre pour aller découvrir les regards tournés vers les étoiles est une réalité humaine tout aussi passionnante sur une île perdue à l’autre bout du monde.
Pour mon voyage au Népal avec deux amies, je n’ai pu m’empêcher d’apporter de quoi enregistrer quelques sons. Nous avons parcouru ce fameux trek autour des Annapurnas, moi avec mon petit appareil photo et mon micro relié à un minidisc. La meilleure manière de faire vivre ces images et ces sons était ce diaporama.
Le Mustang est un petit royaume situé au nord-est du Népal. De culture tibétaine, il est partie intégrante du Népal depuis 1951. Tashi Tsampo nous emmène à la rencontre de ses habitants, au travers de paysages sauvages et sublimes.
Les décennies 50 et 60 ont été, aux Etats-Unis, un formidable bouillon de culture, souvent décrié aujourd’hui. Petit tour d’horizon parfois surprenant.
Sculpter une montagne fut un véritable défi au XXème siècle. Les statues monumentales de quatre présidents imposent un respect et dégagent une atmosphère. Mais en dehors de la prouesse technique, qu’en pensent les Dakotas, cette tribu sioux, dont le mont Rushmore est leur montagne sacrée ?
Cuba est un pays où la publicité est interdite, néanmoins d’immenses panneaux bordent les routes et le mot « révolution » figure sur chacun d’eux. Le film est un témoignage recueilli auprès de trois habitants. L’un est mécanicien dans un garage, l’autre est employé dans une plantation de tabac et la femme est une mère au foyer. La principale question posée porte sur la signification du mot « révolution », dont le sens ne peut être expliqué que par les cubains eux-mêmes. Afin de changer ce qui peut être changé, la révolution continue.
Sucre : ville riche, ville pauvre. Des dizaines d’enfants vagabondent en bandes solitaires autour de la place principale, une boîte craquelée à la main. Plus loin, l’école de musique « Canto Sur » lutte pour préserver les traditions musicales de Bolivie et apporter un espoir d’avenir à des jeunes défavorisés.
La fièvre du carnaval déferle sur les îles. Le roi Vaval mène la danse, avec son coeur qui bat au son du tambour Ka. « Tambour d’Afrique, Tambour mémoire, Source de nos musiques, Raconte ton histoire... »
Nora Trisna est Minangkabau et vit à Sumatra, terre de canyons et de lacs, dont le nom évoque encore une terre sauvage. Considéré comme la plus grande société matrilinéaire au monde, ce peuple a su concilier traditions ancestrales et préceptes de l’Islam, l’un et l’autre s’équilibrent et harmonisent les modes de vie de la communauté.
![]() © Patrick PROFIT | ![]() © Patrick PROFIT |
Nora Trisna, qui partage son temps entre travaux domestiques éducation de ses enfants et études de sage femme qu’elle a repris sur le tard, illustre le statut particulier de la femme Minang, propriétaire des terres et garante de la continuité du lignage… Elle nous fait découvrir son quotidien où, à chaque instant, s’exprime la richesse de sa culture ancestrale.
Patrick PROFIT est un passionné de voyage il s’est beaucoup déplacé à travers le monde. Pour la création de produits audiovisuels d’abord mais aussi par un investissement personnel dans l’humanitaire, au sein de plusieurs ONG. Cet engagement lui a permis de se placer, à chaque fois, dans une situation d’observation et de contacts extraordinaires. D’où cette volonté de concevoir des sujets « au contact de l’autre » très proches des gens.
Le 30e FESTIVAL de Reportages, de Voyages et d’Aventures aura lieu les 4 et 5 février 2011 au Cinéma Les Lobis à Blois.
La date limite d’inscription pour participer au concours est le 24 octobre 2010.
Une préselection aura lieu le 6 novembre 2010 au Cinéma LES LOBIS - 12 avenue du Maréchal Maunoury - BLOIS
La fiche d’inscription et le règlement du concours sont disponibles dans le document ci-dessous.
A l’origine, une poignée de mordus d’images, d’accros de la pelloche, de cinglés de la bande son.
Après avoir rôdé avec succès la formule des Forums à l’Aventure, ils firent leurs premières armes festivalières à la Maison de Bégon, puis très vite, devant l’importance prise par la manifestation, ils fondèrent, voici maintenant presque trente ans, l’association Autour du Monde que l’on connaît aujourd’hui.
Images, son, certes, mais dans un domaine à la fois très ciblé et très vaste puisque le thème porteur de la mise en œuvre de toutes les techniques audiovisuelles a pour champ d’application la planète entière.
Un festival audiovisuel réunit sur deux jours, les réalisateurs de diaporamas et de vidéos.
Ils s’y confrontent en concours selon ces catégories, là aussi, autour du même thème, sans distinguo entre professionnels et amateurs.
La sélection est des plus rigoureuse et la dotation en lots toujours à la hauteur du talent des réalisateurs, ce qui, d’une part, est motivant pour eux, et d’autre part ne peut que provoquer le plus grand plaisir du public qui vient chaque année s’y évader.
En avril 2005, Julie et David partent à l’assaut du continent américain, sac au dos, guides en poche et l’innocence au fond du coeur.
À pied, à cheval, en auto-stop, en bus ou en bateau, à travers seize pays, ils vont à la rencontre des peuples premiers, de la banquise du détroit de Béring au grand désert d’Arizona, des plages soyeuses des Caraïbes aux hautes terres des Andes, de la jungle touffue d’Amazonie aux fiords de Patagonie. Inuit et Tlingit d’Alaska, Déné du Canada, Navajo, Havasupai et Hopi d’Arizona, Tarahumara du Mexique, Maya du Guatemala, Kuna du Panama, Guambiano de Colombie, Shuar d’Équateur, Quechua du Pérou, Aymara de Bolivie et Mapuche du Chili…
![]() © David DUCOIN | ![]() © David DUCOIN |
Deux années durant, ils toucheront au coeur de l’Amérique indigène, partageant le quotidien des Amérindiens, mangeant avec eux, chassant avec eux, tissant une relation de confiance grâce à laquelle ils peuvent photographier et filmer ces tribus dans leur quotidien, dans des conditions formidables. Dans ce film, David Ducoin laisse la parole aux indigènes qu’il a interviewés et brossent le portrait sensible d’une Amérique différente.
Ce film témoigne de la beauté d’un continent, de la diversité des hommes qui y vivent, de leur cadre de vie, de leurs rituels, de leur quotidien, en même temps que du profond sentiment qui les unit, au-delà de leurs différences : celui d’appartenir, tous, comme nous, à la même Terre, et de lui devoir amour, respect, et humilité.
Ce film retracent le voyage en side-car de Chrystel et Thomas à travers l’Europe, puis la Russie jusqu’au-delà de l’Oural. Durant l’été 2006, âgés de 30 ans, ils entreprennent un périple dans l’esprit du « Voyage à Sakhaline d’Anton Tchekhov ». Ils choisiront comme monture, un Dniepr MT16, modifié pour l’occasion et datant de 1966.
Au cours de ce voyage, on découvre les nuits chez l’habitant, les bivouacs improvisés, les pannes diverses et de sublimes paysages de taïga sauvage, mais aussi le voyage intérieur : les doutes, les joies, les peines, toutes ces émotions ressenties comme un écho, au périple de Tchekhov lui-même.
Les marmites du diable glougloutent, les geysers (s)’éclatent à heure fixe devant les touristes : c’est le train-train habituel sur l’île du Nord. Et pourtant, du fond des vasques multicolores, deux yeux furieux vous épient. C’est Mana, l’esprit du mal qui cherche à s’échapper des entrailles de la terre, où Te Arawa l’a enfermé. Vous ne connaissez pas l’histoire ?
Depuis quelques décennies, la Chine fabrique des villes qui transforment les espoirs en étincelles brillantes dont il ne reste rien. Entre la ville et la campagne s’installe une distance longue comme un siècle.
Avec des moyens rudimentaires, les paysans des communautés du sud du pays sculptent les montagnes, cultivent le riz, filent le coton ou la soie, fabriquent le papier. La médecine traditionnelle se pratique dans la rue, et en oubliant le monde moderne, les Miao à cornes continuent à confectionner leur coiffure unique au monde.
Valérie et Fabien ont la trentaine quand ils quittent, en avril 2003, leur travail et le confort d’une vie sédentaire en région parisienne. Ils rêvent en effet d’une pause pour s’extirper de cette vie grouillante de stress et voir grandir leurs enfants dans la plus grande crèche du monde !
Partis en camping-car jusqu’aux portes du Moyen-Orient, ils continuent leur voyage à vélos couchés, équipés chacun d’une remorque, à la découverte de l’Océanie et des Amériques. Puis ils réalisent un trek sur les chemins Incas, avec pour compagnons, deux ânes qui les mènent des hauts plateaux andins vers le bassin amazonien. Ils terminent enfin leur aventure en véhicule 4x4 dans les régions isolées de la Bolivie.
A travers cette expérience en famille singulière, vous découvrirez les progrès de Léa et Yanis, leurs jeux inventés en pleine nature avec les moyens du bord, leur éveil au monde et l’impact de leurs grandes colères sur le moral des parents... Leurs images vous permettront aussi de partager de belles rencontres et de grandes émotions comme l’hospitalisation de Yanis en Turquie, ou encore le mariage de Valérie et Fabien au Guatemala selon la tradition Maya.
Au milieu d’un environnement grandiose et hostile, des hommes ont développé une culture où se mêlent étroitement le profane et le sacré. Cette culture est aujourd’hui menacée par l’omniprésence de la Chine qui ne reconnaît par la spécificité de ce pays, où le réel et l’imaginaire se confondent, ce pays dont le Dalaï Lama rêve de faire un conservatoire de la nature et de la paix.
Au pied des falaises de Bandiagara, dans le Mali central, le peuple Dogon s’est installé depuis le IXe siècle. Amassagou fait partie des huit doyens du village. Il évoque les étapes de sa vie au sein de ce peuple qui a gardé ses traditions séculaires basées sur la prodigieuse richesse de la cosmogonie Dogon.
Jacques et son épouse ont découvert cette partie du Pérou en septembre 2006. Patrick et son épouse ont, eux aussi, passé quelques heures au même endroit en septembre 2007. Ils ont mis leurs souvenirs, leurs photos et leur furie de raconter en commun. Ils souhaitent faire partager leurs impressions et leurs questions.
Tokyo semble faire partie de ces villes étapes, ville aéroport où l’on passe pour aller vers la direction rêvée... Pour beaucoup, le Japon, c’est Tokyo. Et pourtant, si l’on choisit bien sa période, Tokyo peut redevenir fascinante.
Carte postale du désert blanc et du désert noir dans le désert lybique, à l’ouest de la vallée du Nil.
Au nord de l’Espagne, en Navarre, existe un désert appelé « Bardenas ». C’est dans cet univers que vivent les derniers troupeaux de moutons, et surtout, la transhumance estivale qui se raréfie de plus en plus.
Petit train himalayen, protégé par l’Unesco. Tous les jours depuis 1881, l’emblématique « Toy Train » se hisse en 9 h sur 88 km, en partant du niveau de la mer à Darjeeling, situé sur les pentes himalayennes à 2134 m d’altitude, sur un tracé acrobatique et pittoresque, signalant sa présence à coups de sifflet stridents, semblant jaillir des entrailles de la terre !
Espace et lumière... Le père René Bolle-Reddat, chapelain, présente la Chapelle Notre Dame du Haut à Ronchamp. Il nous dit les motivations, les inspirations qui ont animé l’architecte Le Corbusier pour sa conception.
L’histoire de la réalisation du Canal de Panama, de 1502 à nos jours.
Olivia Dierauer est Colombienne, née en 1977. Six mois plus tard, elle prend l’avion pour la Suisse avec ses parents adoptifs. Une grande chance pour elle, d’autant plus que cette petite fille est Invalide Moteur Cérébral.
Olivia mène une enfance privilégiée qui pourtant, dès l’adolescence, ne la satisfait pas. Un malaise s’installe au fil des années : elle ne trouve ni sa place ni ses racines dans cette société occidentale.
En 2001, elle rencontre Yves Chaloin, sportif expérimenté et passionné de voyages. Yves lui offre peut-être la réponse à ses questions : un tour du monde pour découvrir, faire peut-être la paix avec soi-même et qui sait, retrouver ses racines ... « Nous avons parcouru 38 620km en 736 jours de voyage, en traversant des déserts et de nombreux massifs montagneux. Nous avons respecté notre éthique de départ : un voyage exclusivement en vélo et en bateau-cargo. Ne jamais quitter la surface terrestre pour essayer de prendre la mesure de notre planète. Personne ne nous a rien volé, nous n’avons jamais été menacés, ni attaqués... Voyager rapproche du monde... » Olivia Dierauer
“Le plus dur à vélo, c’est les 1 500 premiers kilomètres...” Yves Chaloin
En 1846, pour la première fois, deux français, Evariste Huc et Joseph Gabet découvrent la ville mythique de Lhassa. 160 ans plus tard, Stéphanie Huc et Jean Guillemot partent à vélo et à cheval sur les traces de ces deux personnages intrépides. Ce périple de cinq mois les a amenés à traverser les régions peu connues de la Chine : la Mongolie intérieure, le désert de l’Ordos, le Ningxia, le Gansu, le Kinghai et le Tibet. Au terme de cette aventure, ces deux voyageurs nous apportent un témoignage unique, à la fois si proche et si éloigné des descriptions d’Evariste Huc.
Subtil mélange entre un documentaire et un film d’aventure. Les images contemporaines et d’archives s’enchaînent au rythme de ce pays en pleine mutation. La musique originale achèvera de vous transporter dans un voyage hors normes.
Six collègues de travail envisagent de réaliser l’ascension des deux plus hauts sommets des Andes de Bolivie : le Nevado Illimani (6462m), point culminant de la Cordillère royale et le Volcan Sajama (6545m), point culminant de la Cordillère occidentale.
La Mongolie comblera les amateurs de nature sauvage et de vie nomade. Des grandes dunes blondes et montagnes noires du Gobi, pays des éleveurs de chameaux, aux prairies et montagnes boisées du Khangaï, le massif montagneux du centre et jusqu’au cœur de l’Altaï, le haut massif montagneux de l’ouest, les mongols et Kazakhs se déplacent au gré des saisons sur les pâturages, maintenant un mode de vie ancestral parfaitement adapté à leur environnement.
Pour ces peuples de cavaliers, la propriété du sol n’existe pas et les déplacements, qu’ils s’effectuent en camion, en caravanes de chameaux ou chariots tirés par des yacks, obéissent à des concepts élaborés par des siècles d’adaptation. Les éleveurs savent parfaitement tirer partie des cycles naturels de la végétation. Sur ces immenses territoires, une nouvelle donne est en train de se jouer : éternel bras de fer entre intégration forcée ou autonomie. Les nomades de Mongolie auront, ces prochaines années, à faire ou à subir des choix décisifs…
A l’évocation de la route 66, nous nous imaginons au volant d’une belle américaine, à bord d’un truck chromé, au guidon d’une Harley Davidson, filant à travers des paysages grandioses, libres comme le vent. Notre imaginaire a pris le pas sur l’histoire, parce que l’histoire a fait place au mythe.
50 ans plus tard, l’auteur décrit sa participation à la guerre d’Algérie et livre ce qu’il a ressenti. Toutes les photographies ont été réalisées par l’auteur (avec un appareil Foca 24x36 et des diapositives kodakrome de 12 asa) à Bône et dans les Nementcha.
Hiver 2004 : 1600 km à pied, au chaud dans le ventre de sa maman. Été 2005 : 400 km à dos d’âne. C’est l’étonnant voyage d’Ondine, la petite fille du chemin, en route vers Saint-Jacques avec sa tribu d’humains et d’animaux. De Bretagne jusqu’en Espagne, des bords de Loire aux plages de Galice, « l’enfant du chemin » goûte et découvre la vie.
Au fil des rencontres, des chansons et des paysages, ce road-movie familial, tout en tendresse et en profondeur, nous livre une chronique du chemin de Compostelle, à la fois intime et universelle, qui invite à tous les voyages...
Le festival se déroulera au Cinéma les Lobis, 12 avenue du maréchal Maunoury à Blois.
Pour accéder au lieu du festival, voici une carte établie à partir de Google Maps présentant un plan des environs :
Ou comment faire de son voyage un outil de développement. Séjourner au cœur d’un village africain, vivre au rythme de ses habitants et de leurs activités traditionnelles, rire ensemble des différences culturelles, être invitée à des cérémonies vaudoues, participer au développement du village. Voilà ce qui a motivé Sophie à partir en voyage avec l’association « Tourisme et Développement Solidaires ».
Un voyage est toujours l’occasion de découvrir beaucoup de choses, souvent de très belles. Malheureusement, on découvre parfois le résultat d’un conflit récent et toutes ses conséquences : massacres, viols, épuration ethnique, et tout cela aux portes de l’Europe.
Deux français, Olivier et Pierre, participent au Marathon International de Dromadaires de Dour, dans le sud tunisien. Nous les suivons tout le long de cette redoutable épreuve, à travers les dunes et steppes du grand erg oriental.
Extrémité absolue du monde, la Patagonie fut autant la terre des désespérés que des aventuriers qui cherchaient à atteindre les limites de ce même monde. Entre beauté originelle et désolation, elle supporte tous les superlatifs, mais ce monde sauvage est rempli d’humanité.
Condensé de plusieurs voyages en mer d’Aral, été comme hiver, dans la partie nord du Kazakhstan : tableaux de vie dans l’ancienne ville portuaire, Aralsk. On y arrive en train depuis Moscou. Vision du port asséché et des épaves de bateaux, vision d’une ville gagnée par l’abandon et la poussière... mais où règne, malgré tout, une volonté de vivre : le bazar est enfin réhabilité et le commerce local redécouvre quelques transactions. Mélange de générations dans cette ville défigurée.
Deux skieurs traversent la calotte glaciaire du Groenland en autonomie totale. Devant eux, 60 jours d’un désert de glace et de vent. Parti de Bretagne, le voilier Baloum Gwen va tenter de les récupérer sur la côte ouest du Groenland, aux confins des eaux libres de l’Arctique. Ils ont rendez-vous à Thulé. Ce film est le journal de bord à deux voix de la double expédition que les passionnés de « Diagonale Groenland » ont vécu pendant quatre mois.
Exposition photographique (entrée libre)
Hugues VASSAL débute en 1950, à 17 ans, comme « mannequin junior » à Paris. Cette brève expérience lui fait découvrir la photographie. À partir de 1957, il est tout jeune photographe à la revue France Dimanche et se voit confier un reportage sur la chanteuse Édith Piaf qui va lui offrir son amitié. Il écrira plusieurs ouvrages sur cette artiste. Puis il devient tout naturellement le photographe des stars : Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Mireille Mathieu, mais il a en tête l’idée de fonder une grande agence de photo-journalisme et en 1967, il devient l’un des fondateurs de l’Agence Gamma, première agence entièrement indépendante. Il photographiera l’Apartheid en Afrique du Sud, la révolution culturelle en Chine, la guerre du Kippour, la Cour impériale d’Iran.
![]() © Hugues Vassal | ![]() © Hugues Vassal |
Hugues Vassal a à coeur de transmettre son expérience à de jeunes photographes au talent prometteur... L‘ Association Alphalens est née en 2004 afin d’atteindre ce but.
Cette exposition présente le parcours d’hier à aujourd’hui de ce photographe pas si « ordinaire » qu’il le dit. « Ordinaire » souligne simplement que ses photographies sont sans artifice.
Ce film est un cri pour la vie ! Pour marquer les esprits sur le mal qui est fait aux Maasaï depuis tant d’années, sur nos fausses valeurs de l’argent qui les étouffent, sur leur terre réduite à une peau de chagrin, mais aussi sur le décryptage de leurs pratiques purement pastorales, garantes de la préservation d’écosystèmes uniques au monde... Kenny Matampash Ole Meritei, l’homme de mon rêve d’enfant et porte-parole de la cause Maasaï, en est le « héros ».
Les Maasaï sont des pasteurs dont le territoire actuel s’étend de la frontière et du mont Kilimandjaro, entre le Kénya et la Tanzanie, sur 100 000 km2. Ils sont aujourd’hui environ 800 000. Éleveurs pacifiques, les Maasaï sont célèbres pour leur sens de l’hospitalité et leur organisation démocratique fondée sur une dimension hautement spirituelle, des relations sociales à l’environnement. L’égal accès de tous aux ressources s’accomplit de concert avec le souci de veiller ensemble à une gestion équilibrée des écosystèmes.
![]() © Xavier Péron | ![]() © Xavier Péron |
Mais les « Lords of East Africa » sont l’objet d’une lente déstructuration qui, a priori, les condamne à faire de la figuration dans les décors grandioses de la Vallée du Rift, à l’usage des agences de voyage et du tourisme de masse. Leurs terres sont privatisées à un rythme rapide au profit de l’élevage commercial, de l’agriculture et des politiques de conservation de la faune sauvage.
Lanzarote a su préserver son identité de « beauté sauvage », grâce à un natif de l’île qui est César Manrique.
Coincé entre l’Inde et le Tibet, le Bhoutan est un petit royaume de l’Himalaya très attaché aux traditions du bouddhisme tibétain. Nous assistons à la fête du Monastère de Paro où se mêlent chants, danses et cérémonies religieuses.
Contrastée, émouvante, cruelle et sensuelle, la Chine ne laisse jamais ses visiteurs indifférents. Dans les provinces les plus isolées du sud , vivent encore des minorités tribales méconnues. On les a surnommées les « sculpteurs de montagnes ». Mais les relations, si généreuses et chaleureuses d’hier, commencent à se transformer avec la mode de l’ethno-tourisme où les tours-opérators commencent à s’engouffrer.
On va dans le désert pour se vider l’esprit de toutes les misères de la vie. On y va parfois chercher la lumière intérieure. Le photographe va aussi chercher l’autre lumière !
Madame Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la Paix, préfère que les touristes boycottent le Myanmar (Birmanie) pour condamner la junte militaire au pouvoir. La lettre de l’auteur tend à lui démontrer le contraire.
Isolés depuis près de 60 ans dans leurs impénétrables collines de l’Asie du sud-est, interdites d’accès aux ethnologues, aux journalistes, aux témoins tout simplement, trois millions de Naga résistent avec acharnement depuis 1947, année du partage de leur territoire entre l’Inde et la Birmanie, à la main mise de ces deux nations sur leur pays et leur vie toute entière. Le peuple Naga subit les conséquences du traçage arbitraire des frontières. Il vit sous l’oppression de pays dominateurs et est victime, depuis des décennies, de multiples violations des droits de l’homme qui ne parviennent que très rarement aux oreilles du Monde ... C’est pour témoigner que Maurice Thiney, membre de la Société des Explorateurs Français, s’est introduit clandestinement auprès de responsables de l’Armée de Libération du Nagaland.
Les images et les sons ont été captés lors d’un voyage au Pérou. Construit tel un récit photographique et non comme un récit de voyage, ce montage transporte le spectateur par l’image et le son, plus que par l’idée du voyage lui-même.
La Bolivie est un pays de hauts plateaux, aux paysages fascinants, au patrimoine historique et archéologique millénaire. Colonisés pendant des siècles, les habitants veulent reprendre la main sur l’exploitation des richesses naturelles qui proviennent d’une terre où le volcanisme est encore actif. Abya Yala est le nom choisi en 1992 par les nations indigènes pour désigner l’Amérique.
Hussain, manager Dubaïste, conduit le narrateur à travers Oman et l’Émirat de Dubaï.
En Équateur, les hommes des communautés indigènes quechuas, proches du Chimborazo, le plus haut volcan d’Amérique latine (6310 m), se sont rendus pendant des années sur les glaciers de cette montagne pour en extraire de la glace vive. Ils la vendaient ensuite sur les marchés. Aujourd’hui, ce métier disparaît. Baltazar Uschca Tenesaca est le dernier « Hielero du Chimborazo ». Derrière lui, personne n’exercera plus ce métier éreintant et si peu lucratif.
3800 km en canoë, du Lac Baïkal à l’Océan Arctique. Parti de Kacug, premier village en amont de la source du fleuve, il va, pendant cinq mois, vivre un voyage au milieu d’une nature hostile et dans l’isolement redoutable de régions parmi les plus reculées du monde. Faune, flore, coutumes locales, vie quotidienne ..., notre voyageur solitaire filme un portrait complet de cette terre d’exception, rarement explorée et d’une richesse insoupçonnée.
La musique birmane est riche de multiples influences. En tout premier lieu, celles de ces proches voisins qui sont l’Inde, la Thaïlande et le Cambodge, mais aussi, pour des raisons historiques, celle de la Grande-Bretagne. L’art musical traditionnel se divise en deux genres majeurs : la musique de plein air et la musique de chambre. La musique de plein air est jouée avec des instruments aux sons puissants, tels que les percussions et le hautbois. Elle anime les fêtes religieuses, la danse classique et les spectacles de marionnettes. Quant à la musique de chambre, qui se jouait autrefois à la cour, elle met plutôt en valeur les sons doux de la harpe et de la flûte. Parallèlement à cet art musical séculaire, le développement antique de la culture du bronze en Asie du sud-est a contribué à la création d’outils de communication largement utilisés dans le cadre de la pratique du bouddhisme et des cultes rendus à diverses entités spirituelles.
Dans les villages des communautés Miao, situés au sud de la Chine, dans la province du Guangxi, de nombreux enfants, dont une majorité de filles, ne sont pas scolarisés ou interrompent leurs études en raison de la pauvreté des familles. Ce film montre la vie des paysans et l’action d’une association qui a pour vocation d’aider à la scolarisation des filles. Afin de monter un dossier pour leur trouver des parrains, les enfants sont photographiés avec une ardoise à la main qui indique leur nom et leur adresse, leur seul passeport pour l’avenir.
« En plein coeur de l’Australie, le désert de Simpson (200 000 km2) est un océan immobile de sable rouge et de dunes parallèles. C’est le plus aride des déserts australiens et le moins accessible. Il a été traversé pour la première fois en 1936 et de nos jours, rares sont les véhicules qui s’y aventurent. Il est recommandé de voyager en convoi d’au moins trois véhicules tout terrain et d’avoir eau, vives et radio pour demander éventuellement des secours » - Le Petit Futé - Oui, mais cette année, il a plu ...
Le 20 avril 1928, l’explorateur René Caillié découvre Tombouctou. C’est la dernière partie de son voyage qui est retracée ici, quand, non loin de Djenné, il s’embarque sur le Niger et descend le fleuve jusqu’à Tombouctou.
Une semaine après un attentat sur le marché de Tachkent, la capitale du pays, nous découvrons l’Ouzbékistan au passé glorieux. Ce pays d’Asie Centrale, qui connu trois langues et trois alphabets différents en 150 ans, est libéré de la colonisation soviétique depuis 1991.
Exposition photographique
Patrick De Wilde parcourt le monde depuis 25 ans avec son appareil photographique. Travaillant en artisan, il a dressé un studio de fortune selon les possibilités du moment, dans des conditions souvent précaires et parfois cocasses : sous l’aile d’un avion, l’auvent d’une tente, le hayon d’une jeep,
le porche d’un temple, le taud d’une jonque. Il a tiré le portrait de milliers d’hommes et de femmes dans de nombreux pays. Au cours de ces face-à-face, il a saisi la tendresse, la dignité, l’élégance, la gaîté de chaque individu,
participant ainsi à la composition d’un paysage humain, singulier et étonnant.
L’île rouge retrace le périple de deux amies qui partent traverser à pied Madagascar, à la rencontre de projets de développements locaux. Plus de 1500 km en pleine nature, sur des sentiers à inventer, à la rencontre de 23 initiatives originales. Aller à pied, être d’égal à égal, ramener de bonnes nouvelles pour en susciter d’autres.
![]() © Cécile Clocheret et Lydie Bertrand | ![]() © Cécile Clocheret et Lydie Bertrand |
A Siorapaluk, la vie est rythmée par le temps et les saisons s’organise autour de la chasse aux mamifères marins, aux oiseaux migrateurs et à la pêche l’omble chevalier.
Ce film évoque la flore, la faune, la vie quotidienne des chasseurs et le travail des femmes : préparation des peaux, fabrication des vêtements, papotages autour du thé en attendant ... le retour du soleil.
![]() © Jocelyne Ollivier-Henry | ![]() © Jocelyne Ollivier-Henry |
![]() © Jocelyne Ollivier-Henry | ![]() © Jocelyne Ollivier-Henry |
Après deux siècles d’éclipse, l’Empire du Milieu retrouve la place qu’il occupait jadis.
![]() © Claudine et Jean-Pierre Durand | ![]() © Claudine et Jean-Pierre Durand |
Dream Time, Le temps du rêve, représente la vision de la création du monde pour les Aborigènes d’Australie.
A travers l’observation de leur mode de vie, à l’aide de quelques interviews et en assistant à une cérémonie dédiée à leurs ancêtres, le film apporte un témoignage qui contribue à répondre aux interrogations que se posent les étrangers sur ce vaste continent au sujet de la vie actuelle des Aborigènes. Que sont-ils devenus ? Comment ont-ils traversé les époques imposées par l’homme blanc ? comment vivent-ils aujourd’hui ? Que reste-t-il de leurs coutumes ?
![]() © Robert Tassinari | ![]() © Robert Tassinari |
"Je cherche l’équilibre" est la nouvelle quête du Petit Prince de retour sur terre, en Afrique australe. Dans l’eau, dans l’air, dans le feu, il existe un coin de paradis où cet équilibre existe, fragile certes, entre hommes et animaux, où règne la paix.
Un road-movie dans la parc national du Djoudj, guidé par Birdia, gardien vétéran du parc, où alternent des tranches de vie partagées avec les habitants et des rencontres avec la faune locale.
Après la longue nuit de la dictature, la Birmanie retrouvera son vrai nom et la démocratie. Elle redeviendra le "Pays de l’or qui ruisselle".
![]() © Maurice Guidicelli | ![]() © Maurice Guidicelli |
De la sueur, du sucre et des rails. Loin des hordes de touristes et de la frénésie des plages de Varadero, les campagnes cubaines s’apprêtent à vivre l’époque de la zafra ; la récolte de la canne à sucre.
Historiquement, "l’or vert" a fait battre le cour du pays, faisant vivre directement ou indirectement 500 000 familles. Mais il est aussi générateur d’un problème crucial : le chômage saisonnier, car la zafra s’échelonne de décembre à mars.
![]() © Nadine Antoine et Patrick Bellorini | ![]() © Nadine Antoine et Patrick Bellorini |
Nul ne peut vivre dans le désert et demeurer le même. Il portera, faible ou forte, l’empreinte du désert, celle qui marque les nomades. Ce désert qui bruisse de vie et qui sans cesse change au gré de sa minérale éternité !
![]() |
![]() |
Comme tout voyageur, Patrick Profit a des idées préconçues sur un lieu, une région ou un pays qu’il croit connaître. Et le Népal n’échappe pas à ce syndrome de carte postale. Pour lui, le Népal, c’était une très haute montagne. Sherpas, temples, moulins à prières, villes et villages de hauteurs ... Mais sa curiosité le conduisit à l’extrême sud du pays, juste derrière le plus grand fleuve qui l’arrose, et là, il découvrit une bande de terre au relief quasiment inexistant. Ce mince bandeau qui longe tout le sud du Népal contredisant toutes les visions de perspectives verticales qui emplissaient son esprit.
Cet endroit en décalage avec le reste du pays s’appelle le Teraï. Une mosaïque de rizières émaillée de bosquets de manguiers, de cabanes de bambous et de villages blottis sous des palmiers épars. C’est dans cette région du Téraï occidental que vivent les Rana Tharu, une société plus qu’un peuple. Leur histoire avait éveillé sa curiosité et tous les récits qu’il avait pu lire mettaient en avant leur matriarcat... Rencontre avec Ram Beti, jeune Rana Tharu de 19 ans.
L’île de Madagascar, située dans l’hémisphère sud et baignant dans l’océan indien, a gardé une partie de ses secrets. Une étrange rumeur court dans l’île : la présence hypothétique de peuplades isolées, fuyant toute forme de civilisation : les Mikea. Ils seraient les ancêtres des pêcheurs Vezo ayant fuit les razzias des pirates esclavagistes du XVI« siècle. Un espoir de les rencontrer impose, depuis Tananarive, de s’évaporer 1000 km plus au sud. Ensuite, sur un frêle esquif, il faut s’installer face à de nouveaux repères et naviguer avec les pêcheurs Vezo, le long d’une barrière de corail dans le canal du Mozambique. Au terme de 9 jours de navigation, Morombe est atteinte. C’est l’endroit idéal pour se rejouer « Le salaire de la peur ». Dés à présent, une rencontre avec les Mikea est désormais possible...
Un voyage sur la Route de la Soie, aux confins de la Chine, de la Mongolie et de l’Asie Centrale, sur les pistes des caravanes de chameaux, qui, durant des siècles, acheminèrent soie, porcelaine et épices, dans les fabuleux bazars de Kashgar, Samarcande et Boukhara. Une plongée dans l’histoire entre caravansérails, mosquées, palais et cités perdues du désert, sur les traces d’illustres explorateurs. Une rencontre avec les nomades Kazakhs et Kirghizes, qui vivent sous la yourte et migrent avec leurs troupeaux de yacks et de chevaux, dans les steppes et montagnes enneigées de l’Altaff et du Pamir.
Comme Mano Dayak, Touareg et défenseur de la cause de son peuple, Ahmed est un fils du sable et du vent. Il est né quelque part dans l’immensité du désert. Il marche sur les traces de ses pères, à la conquête de la vérité, de la liberté, de la vraie vie.
Suite au reportage réalisé au Zanskar, en Inde du nord, Patricia nous invite à partager sa quête poétique et sensible sur les pentes sommitales de l’Himalaya, dans l’un des derniers endroits au monde où survit la culture tibétaine. Partie sur les traces de ses rêves, elle a ramené de cette aventure une constellation d’étoiles dans son coeur et c’est bien ce trésor qu’elle souhaite partager. Plus qu’un témoignage de la beauté entrevue, cette réalisation est un hymne à l’amour, à la tolérance et à l’ouverture. Quand l’Himalaya ouvre une petite porte si près des dieux et des hommes, on ne revient pas identique d’un tel voyage !
Il était une fois, aux confins de la Roumanie et de l’Ukraine, une région bénie des fées, où le temps n’était pas compté : le Maramures, au parfum d’amour et d’eau fraîche. En ces lieux, on respire l’esprit de solidarité, de tradition, tout particulièrement lors des fêtes de Noël, Pâques, de la montée des troupeaux à l’alpage, où l’on ressort les costumes de toujours, encore parfois revêtus au quotidien. Villages, gardiens de la sagesse populaire et rescapés de la dictature, survivrez-vous à la tyrannie du village mondial ?
Au sud de la Libye, dans le désert, deux massifs montagneux, l’Akakous et le Messak Settaffet forment un véritable musée à ciel ouvert, inscrit au patrimoine mondial par l’Unesco. Gravures et peintures rupestres, réalisées par des artistes accomplis, racontent la vie des chasseurs, des pasteurs et des animaux quand le désert était fleuri, il y a cinq ou dix mille ans.
Il existait une Terra Australie Incognita qui fait encore rêver. Elle fût très longtemps peuplée d’Aborigènes, déconsidérés par les « civilisés » qui envahirent l’île continent. Ces ancêtres pratiquaient pourtant une forme de communion avec la nature, dont on aurait, aujourd’hui plus que jamais, besoin de s’inspirer. Mais qu’est ce qui peut bien attirer dans ce pays ? Est ce la magie et le mystique qui entourent ces origines lointaines ou l’aspiration d’un continent nouveau ? Chacun son chemin.
207 jours de vents extrêmement violents
14400 kilomètres parcourus à vélo
Altitude maximale : 2092 mètres
Température maximale : 57°C
Leur périple commence par l’Espagne et le Portugal pour rejoindre l’Afrique : le Maroc, la Mauritanie, le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, le Niger, puis détournés pour causes de troubles géopolitiques vers la France. Voulant rejoindre l’Afrique de l’Est, Paule et Arthur contournent, sur leurs vélos, la méditerranée par l’Italie, la Grèce, la Turquie, la Syrie, la Jordanie. Il retrouvent le continent en Egypte et remontent le Nil jusqu’à Khartoum...
Par courriel : | autour.du.monde@free.fr | |
Par téléphone : | Philippe BOULAIS (Président) | 06 07 26 89 71 |
Par courrier : | Autour du Monde | |
Boite Postale 218 | ||
41006 BLOIS Cedex |
A pied, à cheval, à vélo, Sylvain Tesson a parcouru 6000 km d’aventure en solitaire en Sibérie, Mongolie, désert de Gobi, Tibet, Himalaya et Bengale. Il a suivi l’itinéraire de Slamovir Rawicz, bagnard polonais évadé d’un goulag en 1941. Cette route de la liberté a été également empruntée par les moines, les dissidents, les réfugiés, les intellectuels qui eurent à fuir la répression communiste en Russie, en Mongolie et en Chine.
Ce voyage fut l’occasion pour Sylvain Tesson de rendre hommage aux évadés politiques. Huit mois pour atteindre son objectif et apprécier, malgré la faim, la soif et la solitude, la splendeur de la haute Asie.
Voici la lise des matériels disponibles pour toute projection de réalisation :
Magnétoscope U-MATIC
Magnétoscope Betacam / BetaSP
Magnétoscope Mini DV / DV CAM
Lecteur DVD
Vidéoprojecteur : Epson EB-G5350NL
La technique, tout au long du festival, est assurée par un professionnel :
Le bulletin d’inscription doit parvenir à l’association AUTOUR DU MONDE avant le 24 octobre 2010.
Joindre impérativement 3 enveloppes timbrées - format 110x220 - à l’adresse du candidat.
Envoyer autant de formulaires que de réalisations, photocopies acceptées.
Joindre des photos de la réalisation pour une éventuelle illustration du programme.
Les frais de dossier s’élèvent à 13 euros par auteur.
Elle aura lieu le 6 novembre 2010 au cinéma "Les Lobis" - 12 Avenue Maunoury - 41000 BLOIS.
Les réalisations expédiées doivent être accompagnées
de toutes les indications nécessaires au bon déroulement de leur projection.
Les réalisateurs seront avisés des décisions de la présélection durant la semaine suivante.
Durée maximale souhaitée du montage : 26 mn.
Respecter les zones de sécurité pour les titres.
Les montages envoyés à la présélection seront ceux projetés durant le Festival.
Vidéo : les DVD ne doivent en aucun cas avoir de menu (lecture directe du film).
Les réalisations envoyées à la présélection seront celles projetées durant le Festival.
Toute participation implique l’acceptation sans réserve du présent règlement. Tous les cas non prévus par le présent règlement seront tranchés par Autour du Monde, dont les décisions sont sans appel.